Edito du Jour

Une pensée positive pour chacun d'entre vous ...

Haut les cœurs en ces temps sombres...

 Prenez soins, de vous, comme de vos proches dans cette

Période bien compliquée, apprenez à redécouvrir le temps

Libre, le temps de la réflexion, Le monde,  mais aussi vous-même

Soyez collectif disciplinés sortez le moins possible

Une pensée toute particulière pour le personnel soignant...

Profitez de cette situation pour vous rendre

Compte de cette société mais aussi de vous entourage

De ceux qui vous aiment, tiennent vraiment à vous

Envoyez des mails tels à vos anciens amis perdus de vue

Si une personne maintenant qui a tout le temps disponible n'a pas

Besoin de s'inquiéter pour vous, elle n'a pas le droit d'être dans

Votre vie, même après quand tout aura de nouveau repris sa place

" Actuellement avec ce confinement, c'est la recherche

Du sois même de l’interne que l'on doit viser

Bien sûr que pour certain, cela va être difficile

de se retrouver avec ses peurs ses démons les questions

Qu'on se pose face a sois même

Avec la lecture, la cuisine va prendre plus d'importance, alors qu'auparavant, on mangeait sur le pouce de la nourriture industrielle. On va plus écouter la radio, de la musique. Prendre le temps de regarder des films des séries,  Et Oui On va s'adapter en effectuant un repli sur soi, on va retrouver les valeurs de la quiétude du temps de vivre

Quand l'épidémie sera terminée, on constatera que l'on aura dépoussiéré d'anciennes valeurs qui nous serviront à mettre au point une nouvelle manière de vivre ensemble.

Il y aura des changements profonds, c'est la règle.

A chaque épidémie, ou catastrophe naturelle, il y a eu changement culturel. Après le trauma, on est obligé de découvrir de nouvelles règles, de nouvelles manières de vivre ensemble. "

Le bonheur n’est pas aussi exigeant que nous. Il se contente de peu. C’est un grand silencieux qui ne se fait voir que dans la quiétude et dans les petites choses. C’est ce rayon de soleil qui se faufile par l’entrebâillement d’une porte, c’est un livre ouvert, une tasse de café fumant, ce sont des gosses qui jouent et rient dans la rue, c’est ouvrir les yeux et regarder. C’est être là. Simplement là. En accord avec soi-même.

Catherine Rambert- (Le livre de la sérénité)

"Ils savaient maintenant que s'il est une chose qu'on puisse désirer toujours et obtenir quelquefois, c'est la tendresse humaine".

"Il avait seulement gagné d'avoir connu la peste et de s'en souvenir, d'avoir connu l'amitié et de s'en souvenir, de connaître la tendresse et de devoir un jour s'en souvenir. Tout ce que l'homme pouvait gagner au jeu de la peste et de la vie, c'était la connaissance et la mémoire."

Albert Camus, "La Peste" (1947)